Deux cahiers séparés permettent de faire dialoguer les textes, retranscrits de la journée d’étude, — 96 pages — et l’iconographie associée à chaque intervention — 32 pages —.
Les choix graphiques et typographiques ont pour but de transmettre de manière directe des textes “bruts”, retranscrits dans une volonté de rester proche de l’oralité.
Ce troisième ouvrage s’intéresse aux “vides” entendus comme une substance, non comme une absence. L’espace vide est une matière sans cesse changeante à révéler et à replacer au cœur de la pensée urbanistique et paysagère. Dans le cadre de la journée d’étude ici retranscrite, les auteurs discutent de la capacité du vide à repenser la notion de “commun”. Par les regards croisés de praticiens et de chercheurs de différentes disciplines (architecte-urbaniste, paysagiste, historien…), les possibilités d’une transition écologique et sociétale des territoires sont interrogées, par une conception, des pratiques et des outils renouvelés.
Comité éditorial
Antoine Begel, Stéphane Bonzani, Marc-Antoine Durand,
Géraldine Texier-Rideau
Responsable de la publication
Olivier Guyon
Responsable scientifique
Géraldine Texier-Rideau, architecte et historienne, enseignante à l'ENSACF.
Éditeur
Éditions deux-cent-cinq
AuteursBertrand Folléa, paysagiste; Géraldine Texier-Rideau, architecte et historienne; David Robin, architecte et urbaniste; Paul Landauer, architecte et historien; Agnès Lapassat, architecte paysagiste; Julia Vallvé, médiatrice urbaine et culturelle.
Impression et façonnage
Imprimerie Chirat,
Saint-just-la-Pendue (42)
Diffusion
Interart (France et Belgique)
Éditions deux-cent-cinq (autres pays)
Les choix graphiques et typographiques ont pour but de transmettre de manière directe des textes “bruts”, retranscrits dans une volonté de rester proche de l’oralité.
Chaque journée d’étude est composée d’une conférence initiale puis de quatre interventions des personnalités invitées: Bruce Bégout, Olivier Soubeyran, Marc-Antoine Durand, Éric Tabuchi...
Deux cahiers séparés permettent de faire dialoguer les textes — 96 pages — et l’iconographie associée à chaque intervention — 32 pages —.
Alors que les territoires rencontrent des transformations profondes et accélérées sous l’impact des évolutions sociétales et des enjeux écologiques, la profession d’architecte se reconfigure et se réinvente elle-aussi.
Le caractère retenu, en cours de conception (Matthieu Cortat, 2020), pose lui aussi la question de la réinvention, mais du point de vue typographique, puisqu’il s’agit d’un revival de l’Univers (Adrian Frutiger, 1957), qui avait l’ambition d’atteindre la meilleure lisibilité possible.
Le premier numéro de la série, Reset architecture, questionne la production architecturale contemporaine et les grandes tendances qui la structurent plus ou moins consciemment. Parmi celles-ci on peut noter depuis une quinzaine d’années un effort récurrent pour réinitialiser les pratiques, pour opérer une sorte de remise à zéro, une volonté de recommencer sur d’autres bases à faire de l’architecture.
Le deuxième opus interroge la posture des Pionniers contemporains, l’homme des territoires nouveaux, celui qui, par son exploration ou son regard, engage un rapport au monde qui appelle de nouvelles règles.
Comité éditorial
Antoine Begel, Stéphane Bonzani, Marc-Antoine Durand,
Géraldine Texier-Rideau
Responsable de la publication
Olivier Guyon
Éditeur
Éditions deux-cent-cinq
Avec le soutien de la Caisse
des dépôts et consignation
et du Groupe de Recherche
en Formation Ressources.
Impression et façonnage
Imprimerie Chirat,
Saint-just-la-Pendue (42)
Diffusion
Interart (France et Belgique)
Éditions deux-cent-cinq (autres pays)